« S’il y a une violence ultime qui peut être infligée aux personnes, aux ménages, qui vivent dans le trop peu de tout, c’est de les considérer d’abord comme des incompétents à éduquer avant de leur garantir la sortie de la pauvreté par l’accès aux droits. »
Dans cette carte blanche, Christine Mahy décortique cette tendance institutionnalisée à « éduquer les pauvres » plutôt que de leur permettre d’avoir accès à une vie décente, saine et épanouissante